Photos de la répétition générale de la pièce « Alice et l’Hôtel des Merveilles » le 27 mai 2014 au Centre culturel Calixa-Lavallée (Montréal).
L’avantage de photographier une générale, c’est que je peux me tenir sur scène avec les acteurs pour capter l’intensité du jeu avec des perspectives « cinéma » plutôt que de me tenir dans le fond de la salle avec un téléobjectif.
La performance des acteurs, la mise en scène de Tania Perlini et les décors et costumes de Lydia Krause et Stéphane Buechler ont offert un cocktail d’atmosphères intéressantes à capter. Bien que l’intrigue soit tout à fait réécrite et actualisée dans le texte original de Tania Perlini, l’ambigüité des personnages et l’angoisse claustrophobe propre à l’œuvre originale de Lewis Caroll sont allègrement déployées dans l’univers créé sur scène.
Alice est accusée du meurtre d’un bébé dont l’identité demeure un mystère. Afin d’éclaircir l’affaire, elle doit retrouver la mémoire. Elle était entrée dans la Place Ville-Marie et avait pris l’ascenseur qui était descendu sous terre. Les portes s’étaient alors ouvertes sur un lieu inconnu; l’Hôtel des Merveilles, où résidaient d’étranges locataires. Accompagnée par son avocat, Alice retrace les étapes de cette nuit insolite passée dans un établissement qui, selon toute investigation, n’a jamais existé.
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